« Estève crée son langage de lithographe. Il est ici guidé par ses dessins au fusain sans les copier. Bien au contraire, la lithographie l'a passionné précisément dans la mesure où, en tant que technique différente, elle lui permettait de prendre d'autres libertés pour aboutir à des solutions inédites.
D. Vallier dans Catalogue raisonné de l'oeuvre gravé, Hans Moestrup, Forlag et Cordelia, 1986.